L’article de Benoit Rottembourg, « Faire des mathématiques en entreprise : Grand Groupe, Start-Up ou PME? », que l’on peut trouver sur LinkedIn depuis quelques jours (http://tinyurl.com/o3q3w4l) est intéressant à plus d’un titre. Dans un premier temps, il met un coup de projecteur sur la recherche opératinnelle, une discipline qui est un peu oubliée dans les entreprises, mais qui, pour bon nombre de PME, pourrait participer de leur intelligence. Bien sûr, il y a les situations décrites dans l’article (big data et autres), mais la recherche opérationnelle peut aussi être utile dans des situations beaucoup plus modestes. J’ai en mémoire une jeune entreprise, quelques employés dans l’alimentaire, qui éprouvait des difficultés à évaluer ses besoins et à lancer ses ordres de production. il est vrai qu’ils devaient anticiper la demande du marché de plus de 6 semaines. Ils travaillaient alors surtout à l’intuition, sans vraiment exploiter leurs 3 années de données historiques. Pourtant, la mise en oeuvre de quelques méthodes statistiques et de recherche opérationnelle, comme la désaisonnalisation et la régression linéaire, leur aurait permis de mieux comprendre et anticiper l’évolution de leur demande. Certes, ce n’est pas une boule de cristal, mais ces simples modèles mathématiques permettent de réduire l’incertitude et facilitent les prises de décisions. Un autre point d’intérêt de cet article réside dans la description de l’organisation de travail dans l’entreprise de l’auteur, des interactions entre les collègues et des raisons pour lesquelles les compétences de mathématiciens d’entreprises se développent mieux dans un environnement de PME. En changeant de jargon, par exemple en utilisant celui de l’intelligence économique, on obtient une histoire similaire qui tient également la route et qui est reste fort fidèle à ce qui se passe dans les cabinats développant de l’expertise pour les autres entreprises.
Among other things, it’s hard to improve private-sector network defenses one country at a time.
This summer, Germany adopted a new law, known in German as the IT-Sicherheitsgesetz, to regulate cybersecurity practices in the country. The law requires a range of critical German industries establish a minimal set of security measures, prove they’ve implemented them by conducting security audits, identify a point of contact for IT-security incidents and measures, and report severe hacking incidents to the federal IT-security agency, the BSI (Bundesamt für Sicherheit in der Informationstechnik).
The big attacks that have been disclosed so far in 2015 involved the theft of data, and a lot of it. Some 21 million personnel records were taken from the Office of Personnel Management, likely by China, while 4,000 records, some with “sensitive” information, were stolen from the Joint Chiefs civilian email system, a theft blamed on Russia. http://www.defenseone.com/threats/2015/09/next-wave-cyberattacks-wont-steal-data-theyll-change-it/120701/
Héritier des réseaux historiques de la documentation muséale, MUST est un jeune réseau créé en 2008 à l’initiative de sept organismes représentatifs du domaine des musées, du patrimoine et de la culture scientifiques, techniques et industriels. Il rassemble les professionnels de l’inform…
La pépite française Ledger a de grandes ambitions. Cette start-up veut fournir des solutions de sécurisation du bitcoin (monnaie virtuelle) aussi indispensables que les routeurs Cisco pour le web. Rien de moins. Pour y parvenir, elle conçoit, assemble et vend des dispositifs matériels et logiciels de sécurisation des services de bitcoin.
Mais un robot pourra aussi proposer à la même personne de raconter les souvenirs d’un événement important qu’elle a vécu, de le mettre sur Internet et de l’aider à rencontrer d’autres personnes intéressées par les mêmes choses qu’elle. Ce modèle est beaucoup plus intéressant : c’est un robot socialisant. Le problème est qu’il n’est pas un aussi bon support de promotion publicitaire que le premier. Et les programmeurs payés par les industriels qui souhaiteront rentabiliser leurs robots en les associant à des campagnes publicitaires choisiront évidemment le premier de ces deux modèles ! Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/merci-big-data-comment-vivre-dans-monde-ou-objets-et-societes-qui-produisent-en-savent-plus-que-memes-2327269.html#1LgvkJXLj4jdzpgK.99